Où en est-on des recherches ? La quatrième phase, c'est pour quand ? Il faut quand même rappeler qu'on a cherché un peu partout, mais jamais autour de la dernière position transmise par l'avion, au moment où se déroulaient les pannes, et qui était connue en temps réel par les services au sol d'Air France (transmission ACARS).
Cette position, immédiatement connue, a été tenue secrète pendant plusieurs semaines.
Ceux qui
prétendent que tout est mis en oeuvre pour connaître la vérité nous racontent des bobards. Il faudrait peut-être demander des
précisions, voire des comptes, à Dominique Bussereau, qui déclarait que les recherches se faisaient sur un territoire grand comme "cinq fois la France" (1), alors que la position, au moment même du crash, était
déjà parfaitement connue à quelques kilomètres ou quelques dizaines de kilomètres
près.
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(1)
Capital -
Aérocontact -
Service d'information du gouvernement (PDF)